Après une première nuit dans de « vraie » lits, nous partons à vélo à la découverte de Copenhague. Après la visite par bateaux, nous allons faire le tour des incontournables de cette capitale. Nous commençons par le quartier de Christiana qui est une ville autogéré dans la ville (elle a été fondé dans les années 70 par des hippies sur le terrain d’une ancienne caserne militaire) nous pouvons la visiter mais certains endroits ne peuvent être photographiés ou filmés. Ensuite nous filons vers le palais, nous décidons de revenir pour la relève de la garde le lendemain.
Nous pédalons jusqu’à l’incinérateur qui au delà de traiter les déchets (qui permet de chauffer des logements), va avoir un mur d’escalade haut de 85 m, une piste de ski et luge ainsi qu’un roof top qui permet d’avoir une vue à 360° sur une partie de la ville.
Le temps étant avec nous, nous profitons pour manger dans des street food ou pique-niquer le midi. Cette capitale est une ville où il fait bon vivre, en 2 coup de pédales nous nous retrouvons dans la nature: parcs, forêts, nous n’avons pas l’impression que nous sommes dans une grande ville.
Le dernier soir nous mangerons dans le street food du Tivoli parc, que nous n’avons pas visité (par manque de temps et si vous souhaitez le visiter l’entrée est assez cher)
Ensuite direction notre warmshower de début d’aventure pour passer notre dernière soirée et récupérer nos cartons de vélos. Nous passons un bon moment et le lendemain, nos hôtes ne peuvent pas déposer les cartons car tous les 2 travaillent. Ils nous propose de rester jusqu’au moment où nous serons prêt en nous laissant la maison (pour les cartons nous nous débrouillerons pour les transporter). Nous avons été très étonnés et agréablement surpris de cette confiance.
Nous mettons les cartons tant bien que mal sur les vélos pour faire les quelques kilomètres qui nous sépare de l’aéroport. Nous prenons de l’avance pour que nous ne soyons pas pris par le temps à l’embarquement. Le temps est splendide donc la mise en carton des vélos se fera dehors.
Les enfants ont adoré ces vacances et auraient voulu les prolonger : vivre, dormir dehors c’est la liberté. Cela est de bonne augure pour notre grand voyage d’un an. Ce voyage a aussi permis de voir comment nous pouvions organiser nos sacoches et le matériel.
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