Après une nuit réparatrice, tout le monde se lève en forme, nous rangeons la tente avant de prendre le petit déjeuner.
Nous commençons à voir les femmes amener les moutons au champ dont certains seront à côté de nous, nous aurons de la compagnie pour finir notre repas.
Ensuite nous commençons à remettre les sacoches lorsque Cecilio rencontré la veille vient à notre rencontre et m’explique les difficultés de ce petit village. Il nous demande si nous connaissons une fondation /association qui pourrait les aider, nous n’en connaissons pas directement mais si une association souhaite les aider nous donnerons son contact : si jamais vous connaissez une association qui peut leur venir en aide n’hésitez pas à nous le faire savoir nous vous donnerons le contact.
Nous commençons cette journée par une belle montée, le temps est un peu venteux mais avec un beau soleil.
Nous nous retrouvons sur une route en bord de falaises, les paysages nous font penser à la corse la chaleur et les odeurs iodées en moins.
Nous avançons bien, nous atteindrons Tilali pour midi. Ce village frontalier est désertique le bâtiment de l’immigration est celui qui est le plus neuf sur la place principale. Nous trouverons un hospedaje juste à côté, pour 50 soles( soit 12€) pour 2 nuits cela nous convient. Le bâtiment est assez neuf et les chambres correct et propre, nous pourrons mettre les vélos dans la cour. Le déjeuner sera pris dans le seul restaurant, puis une bonne douche chaude fera du bien à tout le monde.
Il fait chaud quand le vent ne souffle pas, Xavier fera voler un peu le drone et les enfants auront école. Nous ferons quelques courses pour le soir et une petite lessive à la main qui sera pendu sur le toit.
À 16h le vent se lève avec de grosses rafales, les températures dégringolent ce qui nous oblige à mettre doudoune, tour de cou et bonnet : cela nous met en conditions pour la Bolivie, celui ci se calmera plus tard dans la soirée.
Le lendemain, nous nous reposerons car la route pour aller en Bolivie va être un peu sportive. Nous retrouverons Manon et Valentin dans l’après midi (que nous avions rencontré à Cusco) avec qui nous dînerons le soir, c’est super de se revoir sans l’avoir planifié. Plus qu’à nous faire tamponner notre passeport le lendemain pour passer dans le deuxième pays de notre voyage.
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